A Buenos Aires, les autorités locales se sont prononcées sur la fermeture du zoo communal, après 140 ans d’existence, et sur la transformation de celui-ci en centre d’éducation et de sensibilisation à la protection des animaux.
Les responsables communaux, considérant cette situation de captivité inappropriée et ne permettant pas d’offrir une prise en charge décente, ont fait le choix de restituer ces animaux dans leur milieu naturel.
Cette initiative prévoit donc de relâcher la quasi-totalité des espèces du zoo, soit près de 2700, dans leur habitat d’origine. Seuls les animaux trop âgés resteront dans le zoo, qui sera réhabilité en Ecoparc et où le milieu naturel des animaux sera reproduit.
Cette initiative représente également la volonté d’influencer des décisions similaires à travers le monde et de créer plus de lieux de sensibilisation et d’éducation à la cause animale. L’objectif est également de se détourner d’un système archaïque où la captivité et l’exhibition d’animaux sauvages ne devraient plus s’inscrire dans la normalité.
de Calais, veut mesurer le taux de mortalité des animaux sur les routes. L’objectif est de mettre en place une cartographie des points à risque pour la faune sauvage et de définir par la suite un aménagement spécifique. Sachant que nos routes belges sont les plus à risque d’Europe, le nombre d’animaux morts atteignant plus de 8 millions et même selon certains recensements près de 27 millions (Natuurpunt), cette idée innovante devrait être étendue à nos régions ainsi qu’à toute l’Europe.
Sur l’Ile de la Réunion, les chats et les chiens sont en surnombre, ce qui amène les autorités à devoir éliminer chaque année des milliers d’animaux. Face aux problèmes de saturation des refuges et de possibilités d’adoption quasi inexistantes, l’association Sauvade a vu le jour.
