« Faune qui peut », une initiative de science participative lancée par le conservatoire d’espace naturel du Nord-Pas de Calais, veut mesurer le taux de mortalité des animaux sur les routes. L’objectif est de mettre en place une cartographie des points à risque pour la faune sauvage et de définir par la suite un aménagement spécifique. Sachant que nos routes belges sont les plus à risque d’Europe, le nombre d’animaux morts atteignant plus de 8 millions et même selon certains recensements près de 27 millions (Natuurpunt), cette idée innovante devrait être étendue à nos régions ainsi qu’à toute l’Europe.