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La cellule pour le bien-être animal, du ministère de l’Environnement, va proposer un arrêté, en septembre prochain, qui vise à stériliser les chats domestiques de Wallonie. Cet arrêté devrait entrer en vigueur dès le début de l’année 2017.
Cette mesure vise à réduire la surpopulation des chats et l’euthanasie qui les touchent, en constante augmentation. En Wallonie, chaque année, on dénombre près de 5000 chats euthanasiés.
Chaque chat adopté ou acheté après l’entrée en vigueur de cet arrêté devra être stérilisé avant l’âge de six mois. Les propriétaires de chats nés avant l’application du décret auront une période de 2 ans pour faire la démarche.
La mise en place d’une base de données, comme celle qui existe d’ores et déjà pour les chiens, permettra d’identifier les chats et leurs propriétaires.
À l’instar de la Fondation Philia, plusieurs associations de protection des animaux saluent cette mesure et attendent son adoption.
C’est à ne plus rien y comprendre. Alors que les pays africains se mobilisent et militent, tant bien que mal, pour une interdiction totale et mondiale du commerce d’ivoire, l’Union Européenne s’y oppose et fait savoir qu’elle préconise plutôt l’ouverture d’un marché légal.
Selon l’Union Européenne, la vente de produits légalisés pourrait permettre de mieux lutter contre le braconnage et promouvoir la conservation des éléphants.
Près de 30 nations africaines, stupéfaites, se sont élevées face à cette position de l’Union Européenne et évoquent une mesure contreproductive et insensée.
Au regard d’une politique similaire préconisée une dizaine d’années plutôt, qui avait induit une extinction massive de l’espèce, l’inquiétude des pays africains est légitime.
Depuis le début des années 80, près de 60 % de la population d’éléphants d’Afrique a été décimée. Aujourd’hui certaines voix s’élèvent et font état d’un taux de mortalité de près de 30000 éléphants par an. À ce rythme, l’espèce pourrait avoir disparu dans moins de 25 ans.
Il est urgent que les prises de position soient globalisées et que l’intérêt de l’espèce prime avant tout.
Suite aux allégations de trafic par l’organisation environnementale australienne Cee4life, le temple des tigres situé en Thaïlande s’est vu fermer définitivement ses portes par les autorités locales.
Ce temple, qui avait déjà défrayé les chroniques pour ses conditions de détention et d’exploitation des félins, a montré une nouvelle face encore plus sombre.
En effet, une véritable économie souterraine y a été développée, la peau des tigres et des tigreaux étant mise en vente, conservée dans du formol.
La mobilisation d’ONG et d’organismes de protection des animaux a permis la fermeture définitive de ce lieu et un déplacement des félins vers des refuges reconnus par l’État.